ΤΙ ΕΙΠΑΤΕ ΠΩΣ ΔΕΝ ΜΑΣ ΠΙΣΤΕΥΕΤΕ ;;;
ΚΑΛΑ ΚΑΝΕΤΕ ΔΙΟΤΙ ΔΕΝ ΤΑ ΛΕΜΕ ΕΜΕΙΣ ΑΛΛΑ ΟΙ ΙΔΙΟΙ ΟΙ ΟΙΚΟΥΜΕΝΙΣΤΕΣ !!!
ΔΙΑΒΑΣΤΕ ΚΑΙ ΦΡΙΞΤΕ ΔΗΛΩΣΕΙΣ ΑΠΟ ΥΠΟΤΙΘΕΜΕΝΟ <<ΟΡΘΟΔΟΞΟ>> ΜΗΤΡΟΠΟΛΙΤΗ ΠΟΥ ΣΥΜΜΕΤΕΧΕΙ ΣΤΗΝ ΟΙΚΟΥΜΕΝΙΣΤΙΚΗ -ΠΑΝΘΡΗΣΚΕΙΑΚΗ ΣΥΜΠΡΟΣΕΥΧΗ!!!
σημ.ιστολογιου μας :παντοτε οι δηλωσεις του συγκεκριμενου ρασοφορου θεωρουνται επισημες και απο το φαναρι !!!
ΚΑΛΑ ΚΑΝΕΤΕ ΔΙΟΤΙ ΔΕΝ ΤΑ ΛΕΜΕ ΕΜΕΙΣ ΑΛΛΑ ΟΙ ΙΔΙΟΙ ΟΙ ΟΙΚΟΥΜΕΝΙΣΤΕΣ !!!
ΔΙΑΒΑΣΤΕ ΚΑΙ ΦΡΙΞΤΕ ΔΗΛΩΣΕΙΣ ΑΠΟ ΥΠΟΤΙΘΕΜΕΝΟ <<ΟΡΘΟΔΟΞΟ>> ΜΗΤΡΟΠΟΛΙΤΗ ΠΟΥ ΣΥΜΜΕΤΕΧΕΙ ΣΤΗΝ ΟΙΚΟΥΜΕΝΙΣΤΙΚΗ -ΠΑΝΘΡΗΣΚΕΙΑΚΗ ΣΥΜΠΡΟΣΕΥΧΗ!!!
σημ.ιστολογιου μας :παντοτε οι δηλωσεις του συγκεκριμενου ρασοφορου θεωρουνται επισημες και απο το φαναρι !!!
Μητροπολίτης Γαλλίας Εμμανουήλ: «Θα ήταν ωραίο αν μετά από αυτή τη συνάντηση, υπήρχε κοινωνία από το ίδιο δισκοπότηρο. Είναι επιθυμία μας και αυτός είναι ο στόχος μας. Αυτός είναι ο σκοπός του διαλόγου.»
Το
πρακτορείο ειδήσεων του Βατικανού δημοσίευσε ,συνέντευξη του Μητροπολίτη Γαλλίας Εμμανουήλ, για
τη συνάντηση του Πατριάρχη Βαρθολομαίου με τον Πάπα Φραγκίσκο, στην Ιερουσαλήμ.
Ο Μητροπολίτης Εμμανουήλ, είναι ένα από τα μέλη της αντιπροσωπείας που
συνοδεύει τον Οικουμενικό Πατριάρχη Βαρθολομαίο.
Ανάμεσα
σε άλλα ο Μητροπολίτης Εμμανουήλ τονίζει: « Πιστεύω ότι δεν πρέπει να περιμένουμε
θεαματικά γεγονότα. Δεν μπορούμε να δημιουργήσουμε από μια μέρα στην άλλη
κοινωνία μεταξύ των δύο Εκκλησιών.Υπάρχει
πολλή δουλειά που πρέπει να προηγηθεί και αυτό είναι έργο της Διεθνούς Θεολογικής
Επιτροπής. Δεν πρέπει να κρύψουμε ότι εξακολουθούν να υπάρχουν εμπόδια και
δυσκολίες. ………
Υπάρχει
ακόμα δουλειά να κάνουμε για να προχωρήσουμε προς τα εμπρός, αλλά όπως είπα, με
τη συνάντηση των δύο ανδρών της
Εκκλησίας του Πάπα και του Πατριάρχη,
νομίζω ότι είναι μια ευκαιρία να δώσουν ενθάρρυνση στο έργο του οικουμενικού διαλόγου. Δεν
νομίζω όμως ότι θα υπάρξει κάποια θεαματική απόφαση. Θα ήταν ωραίο αν,
μετά από αυτή τη συνάντηση, υπήρχε κοινωνία
από το ίδιο δισκοπότηρο. Είναι
επιθυμία μας και αυτός είναι ο στόχος μας. Αυτός είναι ο σκοπός του
διαλόγου. Αλλά νομίζω ότι πρέπει να είμαστε ρεαλιστές και πρέπει
ιδιαίτερα να μας ενθαρρύνει σε αυτή τη συγκεκριμένη εργασία σε αυτό το βήμα που
κάνουμε προς την ενότητα……………………»
Les
retrouvailles œcuméniques de Jérusalem vues par le Métropolite Emmanuel
(RV) Entretien - L’œcuménisme sera
célébré dans quelques jours par la visite du Pape François en Terre Sainte. Il
y retrouvera le Patriarche de Constantinople Bartholomée pour commémorer la
rencontre il y a cinquante ans à Jérusalem entre Paul VI et Athénagoras. Une
rencontre historique qui a donné une impulsion fondamentale et déterminante au
chemin œcuménique avec les Eglises orthodoxes, comme l’affirmé jeudi le
cardinal Pietro Parolin. Pour le secrétaire d’Etat du Saint Siège, c’est pour
raviver cette flamme que le pape est en Terre Sainte.
Pour parler de ces retrouvailles
dimanche à Jérusalem, un invité de marque : le Métropolite Emmanuel, le président de
l’Assemblée des évêques orthodoxes de France et directeur du Bureau de
l’Eglise orthodoxe auprès de l’Union Européenne.
Il est pour le monde orthodoxe, l’un
des organisateurs de ce pèlerinage auquel il participera. Avec lui, dressons un
tour d’horizon des relations entre catholiques et orthodoxes, sans esquiver la
question épineuse de la primauté. Bernard Decottignies lui a demandé s’il
pensait que cette rencontre entre le Pape François et Bartholomée en Terre
Sainte allait ouvrir de nouveaux horizons
Je ne peux pas prévoir ce qu’il va se
passer mais de toute façon, une rencontre, c'est un pas en avant. Nous avons
les deux primats d’Église qui se rencontrent. C’est une rencontre symbolique,
50 ans après la première rencontre entre le Pape Paul VI et le patriarche
œcuménique Athënagoras en 1964. C’était une autre époque. Ils ont brisé le
silence qui a duré pendant des siècles entre les deux Églises. Maintenant, on
est 50 ans après. Donc, il y a tout de même du progrès. Il y a un dialogue qui
a été établi suite à cette rencontre à Jérusalem. Il y a une dernière étape qui
a été considérée comme la période du dialogue de la charité et ensuite, le
dialogue théologique a commencé. C’était le dialogue de la vérité et de
l’ouverture. Je pense que dans cette période où nous vivons, nous avons déjà
franchi un pas. Nous ne sommes plus considérés comme des Églises schismatiques
mais des Églises sœurs. Nous travaillons ensemble. Le dialogue et le contact
qui ont été établis, les visites pour les fêtes patronales de Rome et de
Constantinople qui ont continué pendant de nombreuses années ont quand même
donné des fruits. Et alors, je pense que cette nouvelle rencontre de Jérusalem
va donner l’élan et je pense que le Saint Esprit sera là pour nous guider afin
d’aller encore de l’avant pour retrouver la pleine communion entre nos deux
Églises. Au-delà du caractère du jubilé et du caractère symbolique de cette
rencontre, il y aura une rencontre avec un contenu. Nous savons très bien
qu’aussi bien le Pape que le patriarche Bartholomée sont convaincus de la
nécessité du rapprochement des Églises. Ils ont les mêmes caractères. Je vois
beaucoup de similitudes dans leurs actions et aussi dans l’ouverture et je
pense que c’est vraiment un moment qui pourra marquer le mouvement œcuménique,
pas seulement les relations entre les deux Églises mais les relations avec
toutes les Églises chrétiennes.
Est-ce qu’on pourrait être surpris ?
Est-ce que la déclaration commune qui émanera de cette rencontre pourrait
réserver des surprises ?
Je ne peux pas vous en dire le contenu. Je ne connais pas en détail le contenu de la déclaration commune. Mais je pense que cette déclaration va porter certainement sur des questions d’actualité et c’est un signe concret qui va sortir de la rencontre de Jérusalem. Je crois qu’il ne faudrait pas s’attendre à des évènements spectaculaires. On ne peut pas du jour au lendemain établir la communion entre les deux Églises. Il y a tout un travail qui doit être fait en amont et qui est le travail de la Commission Théologique Internationale. Il ne faudrait pas cacher qu’il y a encore des obstacles à franchir et des difficultés.
Je ne peux pas vous en dire le contenu. Je ne connais pas en détail le contenu de la déclaration commune. Mais je pense que cette déclaration va porter certainement sur des questions d’actualité et c’est un signe concret qui va sortir de la rencontre de Jérusalem. Je crois qu’il ne faudrait pas s’attendre à des évènements spectaculaires. On ne peut pas du jour au lendemain établir la communion entre les deux Églises. Il y a tout un travail qui doit être fait en amont et qui est le travail de la Commission Théologique Internationale. Il ne faudrait pas cacher qu’il y a encore des obstacles à franchir et des difficultés.
Et ce n’est pas avec une rencontre
que ces difficultés seront effacées. Il y a certainement encore du pain sur la
planche. Il y a encore du travail à faire pour avancer mais comme je le dis,
avec une rencontre de deux hommes d’Église comme le Pape François et le
patriarche Bartholomée, je pense qu’ils ont la possibilité de nous donner un
encouragement dans le travail qui est fait pour le dialogue œcuménique. Je ne
pense pas qu’il y aura une décision spectaculaire. Ça serait bien si, suite à
cette rencontre, on pouvait communier au même calice. C’est notre désir et
c’est notre but. Le but du dialogue, c’est ça. Mais je crois qu’il faut être
réaliste et il faut surtout nous encourager dans ce travail concret, dans ce pas
que nous faisons vers l’unité.
Alors, il reste bien sûr cette grande
question de la primauté, une question délicate au niveau du dialogue
théologique.
Oui, bien sûr. D’ailleurs, c’est la
question que nous étudions : comment la primauté a été vue au premier
millénaire. Évidemment, après les schismes, il y avait des difficultés. Ça,
c’est sûr. Il y a tout un travail qui est fait. Il faut encourager ce travail
théologique. Les théologiens, les évêques, les laïcs et les prêtres qui
travaillent dans ce domaine ne perdent certainement pas leur temps mais c’est à
la fois utile et nécessaire pour arriver à des pas concrets. Donc, je crois que
la primauté, c’est une question. Il y a d’autres questions qui doivent être
également traitées dans le cadre de notre dialogue.
Cette question de la primauté, est-ce
qu’elle pourrait peut-être un jour (peut-être qu’elle l’est déjà par certaines
personnes) être considérée non plus comme une pierre d’achoppement mais comme
une opportunité entre les deux Églises ?
La question de la primauté, c’est
l’interprétation de la primauté en tant que tel. On n’a pas le temps
d’approfondir et d’entrer dans les détails. Mais évidemment, c’est
l’interprétation que nous donnons à la primauté qui peut aussi nous donner la
solution dans ce domaine. Ce n’est pas que nous voulons mettre de côté la
question de la primauté comme elle était vécue au premier millénaire ou il y
avait la pentarchie, où Rome avait la première place. Personne ne nie ce fait
mais c’est l’interprétation qui a été donnée par la suite qui a posé des
problèmes pour l’Église orthodoxe. Donc, il faudrait aussi voir de quelle façon
cette primauté est vécue et de quelle façon cette primauté est appliquée dans
l’Église. Et je crois que le Pape François, dès le début de son pontificat, a
déjà donné des signes et lui-même, il s’appelle l’évêque de Rome. Il a voulu
aussi donner un rôle plus important à la synodalité. Donc, je crois que ce sont
des signes encourageants pour le dialogue et pour nous dire que nous avons
quelqu’un qui nous soutient dans cette perspective.
En tout cas, comme vous
l’avez-vous-même souligné, on sait que les deux hommes sont très charismatiques
et qu’ils ont des visions claires de ce dont ce monde a besoin. Ils se
connaissent déjà bien et on peut imaginer qu’ils discuteront à nouveau de
l’avenir des chrétiens au Proche-Orient.
Tous les chrétiens qui sont en
Occident ou en Orient pensent à leurs frères qui vivent au Moyen-Orient,
notamment avec la question de la Syrie et tout ce qui se passe aussi en Égypte
et dans d’autres pays de la région. Je pense que personne ne reste insensible à
cette question. Nous voulons que les chrétiens restent sur place puisqu’on ne
peut pas considérer le Moyen-Orient sans la présence chrétienne. Donc, les
chrétiens doivent rester et doivent aussi revenir. Mais la difficulté, c’est de
les faire revenir. Je crois qu’il est nécessaire de souligner qu’en tant que
chrétien, catholique, orthodoxe et pourquoi pas protestant, anglican, nous
soutenons tous la présence et la protection des chrétiens au Moyen-Orient et
partout dans le monde où les chrétiens souffrent.
Un autre sujet qui unit les deux
hommes, François et Bartholomée, c’est bien la question de la défense de
l’environnement. On sait le travail énorme qui est fait par Bartholomée depuis des
années et des années, je dirais même des dizaines d’années. Et on sait aussi
l’intérêt qu’a porté à cette question le Pape François depuis son élection.
C’est également votre avis ?
Absolument, vous savez, c’est une
question qui est chère au patriarche œcuménique, Bartholomée. Et c’est un engagement que le patriarche a pris dès le début
pour la défense de l’environnement, pour la création et pour le respect de la
création. Mais ce n’est pas une question simple, il faudrait que tout le monde
contribue pour éviter le changement climatique. Tout le monde a une
responsabilité et chacun de nous est responsable pour l’avenir de la planète.
Autre sujet probablement fort
intéressant de discussion entre les deux hommes, c’est la question de la
famille. On sait que du côté catholique, on discute pas mal de ce qui concerne
la possibilité pour les divorcés-remariés de communier.
Oui, bien sûr. On savait que la
question de la famille nous suit et nous unit puisque nous avons évidemment la
même vision et je sais bien que l’Église catholique se prépare pour le synode
qui sera justement consacré à la question de la famille. Sur ce que vous avez
dit à propos de la possibilité des divorcés de communier, nous avons une
interprétation beaucoup plus large que l’Église catholique dans ce domaine du
divorce. Bien que nous reconnaissions le mariage qui est "Un", nous
donnons la possibilité pour beaucoup de gens qui, pour une raison ou une autre,
ont eu des difficultés dans leur mariage, à demander le divorce à l’Église et à
pouvoir aussi faire un deuxième, voire un troisième mariage. L’Église pense aux
difficultés du chrétien et le soutient dans les moments difficiles. On ne peut
pas l’exclure de la communauté ecclésiale. On lui donne une chance et on reste
près de lui. Je crois que c’est une interprétation et une attitude plus humaine
que d’exclure l’autre. C’est une approche pastorale et je crois que dans ce
domaine, sans vouloir donner de leçons à personne, l’Église catholique pourrait
peut-être adopter cette pratique de l’Église orthodoxe dans le domaine du
mariage.
Mgr. Emmanuel, ces derniers mois, on
a beaucoup parlé de l’Ukraine et on sait que certains activent des
susceptibilités religieuses pour finalement soutenir des visées politiques. On
peut imaginer que le patriarche Bartholomée et le Pape François puissent avoir
une position très ferme sur ces questions là ?
En ce qui nous concerne et en ce qui
concerne le patriarcat œcuménique, nous sommes très prudents vis-à-vis des
déclarations politiques. Le patriarche ne s’occupe pas et ne se penche pas sur
les questions politiques. Le Pape est à la fois un chef d’État et un chef
d’Église. Donc, il a un rôle tout à fait différent dans ce domaine. En ce qui
concerne les questions de l’Ukraine, vous savez que le patriarcat œcuménique comme
l’Église orthodoxe en général est très sensible à cette question puisque la
majorité de la population en Ukraine est constituée de chrétiens orthodoxes. On
sait évidemment que malheureusement, tous ne sont pas dans l’Église canonique.
Donc, il y a des problèmes que nous souhaitons pouvoir résoudre. Nous
souhaitons que l’Église orthodoxe soit aussi capable de porter ce message d’une
Église unie en Ukraine. Nous sommes aussi très sensibles à toutes les
difficultés que le pays traverse actuellement. Nous attendons vraiment avec
impatience le résultat des élections. La paix en Ukraine, c’est le souhait qui
a aussi été émis par le patriarche Bartholomée dans un message qu’il avait
adressé au peuple ukrainien avant la Semaine Sainte. Donc, je pense que c’est
une question qui pourrait être discutée mais nous, en tant que patriarcat
œcuménique, nous n’entrons pas dans les questions politiques. Nous essayons
d’aider, si c’est possible.
Alors, je m’hasarde à une toute
dernière question. Est-ce que toutes les Églises orthodoxes se réjouissent de
cette prochaine rencontre à Jérusalem pour fêter les 50 ans d’une autre
rencontre, celle entre Athénagoras et Paul VI ? Est-ce que tout le monde est
heureux que ce 50° anniversaire soit célébré à Jérusalem ?
Le patriarche avait déjà annoncé cela
depuis plusieurs mois. Il avait aussi annoncé et il avait parlé lors de la
rencontre de tous les primats d’Églises orthodoxes qui a eu lieu au Phanar, à
Constantinople, au mois de mars. Et je crois que c’est en qualité de premier évêque
et de l’orthodoxie puisqu’il ne s’engage pas par cette rencontre ou de tout ce
qu’il fait au nom de l’Église orthodoxe. Il s’engage en tant que premier évêque
dans l’Église orthodoxe. Comme je l’ai dit, c’est une rencontre symbolique. La
première rencontre a eu lieu aussi entre le Pape Paul VI et Athënagoras I.
Maintenant, cette rencontre sera entre le Pape François et le patriarche
œcuménique Bartholomée. C’est quelque chose de continu, il ne pourrait pas en
être autrement. Donc, je ne pense pas qu’il y aurait des voix qui seraient
contraires à cette rencontre de Jérusalem. De toute façon, cette rencontre se
fait à Jérusalem où il y a le patriarcat gréco-orthodoxe. Le patriarche
Théophile sera également au Saint-Sépulcre. Je crois qu’il y a la volonté de
toute l’Église orthodoxe de voir ce dialogue continué, de voir l’aboutissement
de ce dialogue et l’aboutissement n’est rien d’autre que les retrouvailles
autour du même calice. Toutes nos Églises orthodoxes participent à ce travail
théologique et je crois que c’est une nécessité et c’est un devoir que nous
avons pour que tous soient un.
Μανωλακη..σας αφηνουμε να παιζετε με τον Παπα..Αλλα το ξουρισμα και το μπερνταχι..δεν θα το γλυτωσετε!
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